Projet de la 2e année
Chercheurs du réseau CoVaRR-Net
Jen Gommerman, Université de Toronto, coresponsable du Pilier 1 : Immunologie et protection vaccinale, coresponsable de projet
Ciro Piccirillo, Université McGill, coresponsable du Pilier 1 : Immunologie et protection vaccinale, coresponsable de projet
Mark Brockman, Université Simon Fraser, adjoint du Pilier 1
Hélène Decaluwe, Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine, adjointe du Pilier 1
Anne-Claude Gingras, Sinai Health Systems, responsable du Pilier 4 et membre du Pilier 1
Scott Halperin, Université Dalhousie, adjoint du Pilier 1
Vivian Liu, Université McGill, membre du Pilier 1
Manish Sadarangani, Université de la Colombie-Britannique, adjoint du Pilier 1
Heidi Wood, Laboratoire national de microbiologie, membre du Pilier 1
Collaborateurs
Andrew Letizia, Centre de recherches médicales de la marine américaine
Thumbi Ndung’u, Université de KwaZulu-Natal
Gili Regev, Centre médical Sheba
Manuela Sironi, Université de Milan
Michal Tal, Institut de technologie du Massachusetts (MIT)
Thomas Vogel, Institut Weizmann des sciences
Irv Weissman, Université Stanford
Résumé simplifié
La pandémie de COVID-19 a entraîné une immunité acquise contre le SRAS-CoV-2 par la vaccination ou l’infection virale chez la plupart des Canadiens. Il est important de comprendre à quoi ressemble cette immunité chez les Canadiens vaccinés et infectés. Compte tenu de l’approbation et du déploiement des vaccins à ARNm chez les enfants et de l’émergence du variant Omicron hautement divergent, nous avons défini les domaines prioritaires suivants pour évaluer la réponse immunitaire au SRAS-COV-2 chez les Canadiens vaccinés et infectés au cours de la deuxième année :
- Examiner la réponse en anticorps à la vaccination dans la salive des adultes par rapport à celle des enfants afin de :
- mieux comprendre comment les vaccins contre la COVID-19 assurent une protection par la cavité buccale, principal point d’entrée du virus;
- déterminer si les enfants infectés sont moins susceptibles de développer des symptômes que les adultes en raison d’une réponse en anticorps plus rapide et plus forte dans le système immunitaire muqueux.
- Comparer les réponses immunitaires chez les personnes vaccinées qui ont ou n’ont pas eu une infection par Omicron pour répondre à la question de santé publique à savoir si une personne qui a reçu deux doses de vaccin contre la COVID-19 doit chercher à obtenir une troisième dose après une infection par Omicron.
- Faire une analyse détaillée de la réponse immunitaire au niveau génétique en réponse à la vaccination contre la COVID-19 pour apprendre comment mieux vacciner à l’avenir.
Notre capacité à mesurer les réponses immunitaires aux variants préoccupants dans diverses populations et à caractériser la réponse immunitaire chez les Canadiens vaccinés ou infectés est importante pour éclairer les stratégies de vaccination et, finalement, fournir un modèle pour la conception de futurs vaccins contre les pathogènes émergents.
Budget
Contribution en argent de 625 000 $