Pleins feux sur les stagiaires et le personnel hautement qualifié (PHQ)
Le réseau CoVaRR-Net rassemble du personnel hautement qualifié (PHQ) et des stagiaires de partout au pays et nous sommes fiers de contribuer à la formation de la prochaine génération de chercheurs au Canada.
Des membres de nos piliers et de nos initiatives majeures ont désigné plusieurs candidats exceptionnels sur lesquels les projecteurs seront braqués sur ce site Web en reconnaissance de leur travail. Il ne s’agit là que de quelques-unes des personnes extrêmement talentueuses qui travaillent sur des projets du réseau CoVaRR-Net (par ordre alphabétique). Nous ajouterons des noms à cette liste chaque trimestre.


Jose Avila Cervantes
Pilier 5 – Génomique et séquençage viraux
Associé de recherche, Laboratoire des technologies génomiques avancées, Centre de génomique de McGill


Tamara Chavez
Pilier 7, Mobilisation, développement et recherche autochtones, du réseau CoVaRR-Net (CIEDAR)
Gestionnaire de projet, CIEDAR


Nada Hegazy
Groupe de recherche sur la surveillance des eaux usées (GRSEU)
Candidate au doctorat en génie de l’environnement, M. Sc., EIT, Université d’Ottawa




Sally Lee
Pilier 5 – Génomique et séquençage viraux
Assistante de recherche, Laboratoire des technologies génomiques avancées, Centre de génomique de McGill


Elisabeth Mercier
Groupe de recherche sur la surveillance des eaux usées (GRSEU)
Candidate au doctorat en génie de l’environnement, Université d’Ottawa


Sana Naderi
Pilier 6, Analyse computationnelle, modélisation et résultats évolutifs (CAMEO)
Étudiante diplômée, Laboratoire Shapiro, Centre de génomique de McGill


Paul Stretenowich
Pilier 5 – Génomique et séquençage viraux
Spécialiste en bioinformatique, Centre canadien de génomique computationnelle (C3G), Université McGill


Julian Willett
Pilier 5 – Génomique et séquençage viraux
Associé de recherche, Centre de génomique McGill
Jose Avila Cervantes
Jose Avila Cervantes, Ph. D., est titulaire d’un doctorat en génétique avec une spécialisation dans la génétique moléculaire de nouvelle génération, la génomique des populations, l’évolution et la bioinformatique. Il travaille actuellement sur le séquençage viral au sein du Laboratoire des technologies génomiques avancées, situé au Centre de génomique de McGill et dirigé par le Pr Ioannis Ragoussis.
Aspirations professionnelles :
Jose espère continuer à travailler sur les virus émergents.
Pourquoi le travail José mérite-t-il d’être mis en lumière?
Jose travaille sur plusieurs projets financés par le réseau CoVaRR-Net pour détecter le SARS-CoV-2 et d’autres virus respiratoires dans les eaux usées, en surveillant les éclosions et les nouveaux variants. Dans le cadre de ses travaux, Jose a créé et mis en œuvre des pipelines pour l’analyse des données.
Tamara Chavez
Tamara Chavez, B.A., M.A., est titulaire d’un baccalauréat en travail social de l’Université de Victoria et d’une maîtrise en droits de la personne de l’Université de Vienne. Elle est gestionnaire de projet du Pilier 7 Mobilisation, développement et recherche autochtones (CIEDAR) du réseau CoVaRR-Net et travaille avec une approche de recherche communautaire et participative. Auparavant, Tamara a travaillé comme coordinatrice de projet pour le BC Centre of Disease Control Harm Reduction Services et comme consultante en recherche pour Harm Reduction International. Ses principaux intérêts de recherche portent sur des sujets tels que la réduction des risques, la prévention des surdoses, la santé mentale et la santé sexuelle, en collaboration avec divers groupes, notamment les personnes en situation d’itinérance et les toxicomanes.
Aspirations professionnelles :
En tant que gestionnaire de projet dans le domaine de la recherche autochtone, Tamara espère avoir un impact significatif sur les communautés autochtones en dirigeant des projets de recherche qui mettent de l’avant les connaissances et les méthodologies autochtones. Elle espère collaborer étroitement avec les peuples autochtones, en favorisant des partenariats de recherche respectueux et en prônant l’inclusion du savoir autochtone dans les discussions universitaires et politiques. En résumé, elle souhaite contribuer au changement positif et à la prospérité des communautés autochtones par le biais d’initiatives de recherche dirigées par des autochtones.
Pourquoi le travail de Tamara mérite-t-il d’être mis en lumière?
Tamara est une excellente gestionnaire de projet et gère le portefeuille de travail de CIEDAR en faisant preuve de compétence, d’organisation et de communication cohérente. Grâce à la gestion de Tamara, les membres de l’équipe comprennent leur rôle et le travail qu’ils doivent accomplir pour que CIEDAR continue à atteindre les objectifs de son étude.
Nada Hegazy
Nada Hegazy, B. Sc., M. Sc., est candidate au doctorat en génie de l’environnement et boursière Vanier 2023 sous la supervision de Robert Delatolla à l’Université d’Ottawa. Elle est titulaire d’un diplôme de baccalauréat en génie chimique (co-op) et d’un diplôme de maîtrise en sciences en génie environnemental, tous deux obtenus à l’Université d’Ottawa en 2020 et 2022, respectivement. Depuis le début de la pandémie de COVID-19 en 2020, les recherches de Nada se sont concentrées sur l’amélioration de la compréhension des données de surveillance de la COVID-19 dans les eaux usées et sur leur rôle dans l’amélioration de la surveillance de la santé publique. Ses recherches sur la relation dynamique entre le signal des eaux usées et les paramètres cliniques ont été présentées au niveau international, notamment à l’Institut national pour la santé publique et l’environnement aux Pays-Bas. Les résultats des recherches de Nada lui ont valu de voir sa thèse de maîtrise sélectionnée pour le prix de la meilleure thèse par la Faculté de génie de l’Université d’Ottawa.
Aspirations professionnelles :
Nada souhaite faire carrière à la jonction du génie, de l’épidémiologie et de la science des données, en travaillant à des solutions innovantes qui permettraient de relever de nouveaux enjeux en matière de santé au niveau communautaire et mondial.
Pourquoi le travail de Nada mérite-t-il d’être mis en lumière?
En tant que membre du groupe de recherche du Pr Robert Delatolla à l’Université d’Ottawa, Nada utilise l’ensemble de données unifiées sur la surveillance des eaux usées, un élément essentiel de l’initiative majeure du GRSEU du réseau CoVaRR-Net, pour procéder à un examen complet et agrégé de la qualité des données de surveillance des eaux usées et de leur potentiel pour renforcer la surveillance de la santé publique dans les petites communautés.
Aliisa Heiskanen
Aliisa Heiskanen, B. Sc., a obtenu en 2020 un baccalauréat en sciences de l’Université d’Ottawa, avec une majeure en sciences biomédicales et une mineure en psychologie. Elle a développé un intérêt pour l’épidémiologie des maladies infectieuses lors de la pandémie de COVID-19 et travaille actuellement à l’obtention d’une maîtrise en épidémiologie à l’Université d’Ottawa. Ses recherches portent sur la séroprévalence du SRAS-CoV-2 et des virus respiratoires saisonniers.
Aspirations professionelles :
Aliisa espère continuer à travailler dans le domaine des maladies infectieuses et contribuer à la planification de la préparation aux pandémies dans le cadre de la recherche ou de la santé publique.
Pourquoi le travail d’Aliisa mérite-t-il d’être mis en lumière?
Depuis qu’elle a rejoint la Biobanque du réseau CoVaRR-Net en septembre 2022, Aliisa a joué un rôle essentiel dans l’élaboration des procédures opérationnelles normalisées (POS), la coordination de la collecte d’échantillons et de données avec les coordinateurs d’études et les partenaires, et la liaison avec les chercheurs pour organiser l’expédition des données et des échantillons demandés dans l’inventaire de la biobanque. Son souci du détail a été salué lors de la mise en place du nouveau système de gestion des stocks des biobanques. Elle est également une partenaire essentielle de la Plateforme de données qui s’apprête à lancer sa plateforme Metabase, accessible par tableau de bord, qui révolutionnera la recherche,et le partage d’échantillons et de données ainsi que leur accès parmi les chercheurs canadiens. Ce travail est fondamental pour les activités de la Biobanque CoVaRR-Net et pour son avenir dans la préparation aux pandémies, en particulier lorsque l’équipe continue à mettre en place l’initiative de l’Alliance canadienne des biobanques et des données. En dehors de son travail, Aliisa entretient sa vitalité physique et spirituelle en s’engageant dans le sport : ancienne joueuse de basket-ball universitaire et triathlète actuelle. Cela favorise une éthique de travail idéale, fondée sur la persévérance, la fiabilité, l’engagement et l’excellence : des éléments essentiels de notre formidable équipe de la biobanque!
Sally Lee
Sally Lee, M. Sc., a obtenu sa maîtrise en pharmacologie et thérapeutique à l’Université McGill en étudiant les effets correctifs des suppléments d’acide folique sur les altérations de la méthylation de l’ADN associées aux techniques de procréation assistée. Elle est actuellement chercheuse au Centre de génomique de McGill où elle effectue le séquençage à haut débit de la COVID-19.
Aspirations professionnelles :
Sally espère participer à des recherches qui analysent les effets des produits pharmaceutiques et des suppléments ainsi que les changements génétiques et épigénétiques qui en découlent.
Pourquoi le travail de Sally mérite-t-il d’être mis en lumière?
Sally s’occupe du traitement d’échantillons provenant de multiples projets de génomique virale du SRAS-CoV-2 financés par le réseau CoVaRR-Net, tels que CUBE, les projets d’évolution virale et plusieurs autres. Elle s’occupe également de la gestion des échantillons, de l’utilisation d’instruments génomiques de pointe et du séquençage à haut débit.
Elisabeth Mercier
Élisabeth Mercier, B.Sc., B. Sc., est candidate au doctorat en génie de l’environnement sous la supervision du Pr Robert Delatolla à l’Université d’Ottawa. Elle a obtenu un baccalauréat en biochimie et en génie chimique dans le cadre d’un programme à double diplôme. Élisabeth a fait partie de l’équipe qui a détecté pour la première fois le SRAS-CoV-2 et la grippe A sous-typée dans les eaux usées au Canada et a récemment travaillé à l’extension de la surveillance des eaux usées à d’autres agents pathogènes tels que le VRS. Récemment, elle a été invitée à présenter ses travaux sur la grippe et le VRS dans les eaux usées lors de la huitième réunion internationale « EU Sewage Sentinel System for SARS-CoV-2 » (EU4S) et au groupe consultatif sur le VRS du ministère de la Santé et des Soins de longue durée de l’Ontario.
Aspirations professionnelles :
Elle souhaite superviser une entreprise de technologie de la santé visant à combler les lacunes en matière de soins de santé dans les communautés mal desservies.
Pourquoi le travail d’Elisabeth mérite-t-il d’être mis en lumière?
Au sein de l’équipe de recherche du Pr Robert Delatolla à l’Université d’Ottawa, Élisabeth a dirigé l’élaboration de protocoles et géré l’analyse des données de surveillance des eaux usées provenant de 10 sites en Ontario. Cette initiative novatrice a marqué la première diffusion publique de telles données au Canada et a servi de base à la mise sur pied du PHES-ODM.
Sana Naderi
Sana Naderi est étudiante diplômée au Centre de génomique de McGill et au Département de microbiologie et d’immunologie de l’Université McGill. Ses recherches portent sur l’épidémiologie génomique du SARS-CoV-2, et plus particulièrement sur sa transmission et son adaptation chez des hôtes animaux. Sana s’intéresse également aux analyses de séries chronologiques de séquences d’eaux usées du SARS-CoV-2. Elle utilise la génétique des populations et des approches statistiques pour évaluer la capacité de ces données à prédire les proliférations de pathogènes. Elle a terminé ses études de premier cycle en génie électrique et contrôle des systèmes à l’Université technologique Sharif de Téhéran. Pendant ses études de premier cycle, elle a effectué un stage à l’École de génétique des populations de l’Université de Vienne, au Centre de génomique de McGill et au Biocentre de Vienne de l’Académie autrichienne des sciences. Elle est étudiante diplômée au laboratoire Shapiro de McGill depuis janvier 2022 et passera au programme de doctorat cette année.
Aspirations professionelles :
Après avoir obtenu son doctorat, Sana aimerait continuer à travailler dans le domaine de l’épidémiologie génomique et de la bioinformatique dans l’industrie.
Pourquoi le travail de Sana mérite-t-il d’être mis en lumière?
Sana a été incroyablement productive au cours de sa première année en tant qu’étudiante en maîtrise, contribuant à un article sur la première vague d’événements d’introduction et de transmission du SRAS-CoV-2 au Québec, et dirigeant également un article sur l’adaptation du SRAS-CoV-2 à différentes espèces animales, récemment publié dans eLife. Elle a travaillé en étroite collaboration avec les membres des Piliers 2 et 6 (CAMEO) sur ce travail et entreprend actuellement une analyse des données de séquences provenant des eaux usées. Sa formation quantitative lui a été très utile dans ce travail et elle se familiarise très rapidement avec la biologie des maladies infectieuses. Elle est une présence bienvenue dans le laboratoire et au sein de l’équipe CoVaRR-Net!
Paul Stretenowich
Paul Stretenowich est un spécialiste en bioinformatique et fait partie de l’équipe TechDev du Centre canadien de génomique computationnelle (C3G) depuis avril 2019. Il participe à l’élaboration des pipelines de GenPipes, à l’analyse bioinformatique et à l’assistance aux utilisateurs de GenPipes. Paul participe également à l’entretien, à l’installation et à la mise à jour des logiciels pour l’équipe TechDev dans une pile partagée : CVMFS. Avant de joindre McGill, Paul a travaillé comme bioinformaticien à l’Université de Montréal. Il a obtenu son diplôme d’ingénieur en France.
Aspirations professionnelles :
Paul espère continuer à développer ses compétences en matière d’élaboration de pipelines et d’installation de logiciels afin de diriger à l’avenir des projets de grande envergure, tels que CoVSeQ.
Pourquoi le travail Paul mérite-t-il d’être mis en lumière?
Paul apporte un soutien bioinformatique au Pilier 5 du réseau CoVaRR-Net, Génomique et séquençage viraux. Il est responsable de la conception et du soutien des pipelines d’analyse du séquençage du génome entier du SARS-CoV-2.
Julian Willett
Julian Willett, M.D., Ph. D., est un bioinformaticien au Centre de génomique McGill qui a étudié comment nous pouvons utiliser le séquençage génétique du SARS-CoV-2 pour mieux comprendre comment il provoque la maladie.
Aspirations professionnelles :
Julian s’intéresse à la recherche en génomique computationnelle et fonctionnelle dans le cadre de la médecine aérospatiale et d’autres sujets qui pourraient être contributifs.
Pourquoi le travail de Julian mérite-t-il d’être mis en lumière?
Julian a étudié l’évolution du SRAS-CoV-2 dans un hôte animal et a constaté qu’un hôte était suffisant pour favoriser l’évolution virale.