Chercheurs du réseau CoVaRR-Net
Jen Gommerman, Université de Toronto, directrice du Pilier 1 et chef de projet
Mark Brockman, Université Simon Fraser, adjoint du Pilier 1
Jörg Fritz, Université McGill, adjoint du Pilier 6
Scott Halperin, Université Dalhousie, adjoint du Pilier 1
Ciriaco Piccirillo, Université McGill, adjoint du Pilier 1
Manish Sadarangani, Université de la Colombie-Britannique, adjoint du Pilier 1
Collaborateurs
Blake Ball, Laboratoire national de microbiologie
Felix Breden, Université Simon Fraser
Catherine Card, Laboratoire national de microbiologie
Sandra Kiazyk, Laboratoire national de microbiologie
Mario Ostrowski, Université de Toronto
Michal Tal, MIT
Tania Watts, Université de Toronto
Irv Weissman, Université Stanford
Résumé simplifié
Le Canada a approuvé quatre vaccins contre la COVID-19, mais seulement trois sont utilisés. On ne comprend pas encore complètement la façon dont ces vaccins produisent une immunité protectrice contre le virus du SRAS-CoV-2 et ses variants. Il est nécessaire de procéder à une étude approfondie de la réponse immunitaire provoquée par différents programmes de vaccination pour comprendre comment le type de vaccin, la combinaison et l’intervalle entre les doses influent sur la réponse immunitaire à la protéine de spicule du SRAS-CoV-2. Plus précisément, nous devons comprendre dans quelle mesure ces programmes de vaccination (et les combinaisons de vaccins) mobilisent l’immunité de différentes populations de cellules immunitaires, quels gènes sont activés et quelle est la force relative des réponses de ces cellules. Nous devons également mieux comprendre comment l’immunité se forme dans les voies respiratoires supérieures (nez/bouche), car cela permettrait de protéger les personnes contre les infections asymptomatiques afin qu’elles ne puissent pas transmettre le SRAS-CoV-2 à d’autres personnes. Maintenant que des variants plus contagieux comme le Delta (souche B.1.617.2) sont arrivés au Canada, ces renseignements sont plus importants que jamais. En définitive, nos études fourniront un « modèle » quant à la manière dont les futurs vaccins contre des pathogènes émergents seront conçus.
Budget
CoVaRR-Net : Contribution en argent de 200 000 $