Publications financées par CoVaRR-Net
Le réseau CoVaRR-Net a été extrêmement productif en termes de résultats scientifiques par rapport aux investissements de financement de la recherche qu’il a reçus. Au cours des quatre années d’activité du réseau, les membres ont produit 139 publications de recherche évaluées par des pairs, 12 préimpressions et 15 autres types de publications, y compris des revues systématiques actualisées et des recommandations de santé publique.
Afin de rendre la science plus compréhensible pour un plus vaste public, le réseau CoVaRR-Net a rédigé des résumés simplifiés de bon nombre des publications qu’il a financées, dont la liste figure ci-dessous.
Infection en série par les variants Omicron BA.1 et BA.2 du SARS-CoV-2 après trois doses de vaccin contre la COVID-19
Cette étude porte sur la réponse anticorps d'une personne infectée par deux sous-variants différents d'Omicron : BA.1 10 semaines après avoir reçu la troisième dose du vaccin contre la COVID-19 et BA.2 13 des semaines plus tard.
Cette étude examine les avantages sur le plan immunitaire d’administrer une quatrième dose de vaccin contre la COVID-19 à des personnes vivant avec le VIH (PV-VIH) qui suivent un traitement antirétroviral suppressif.
Les personnes âgées ont généralement des réponses anticorps plus faibles aux vaccins contre la COVID-19, mais leurs réponses des lymphocytes T sont moins bien connues.
Sélection pour l’évasion immunitaire dans le SARS-CoV-2 révélée par la cartographie des épitopes à haute résolution combinée à l’analyse de la séquence du génome
Il est essentiel de comprendre comment le système immunitaire réagit au SRAS-CoV-2, le virus responsable de la COVID-19, pour mettre au point de meilleurs diagnostics, traitements et vaccins.
La protéine effectrice d’interférence ARN argonaute 2 fonctionne comme un facteur de restriction contre le SARS-CoV-2
Les plantes, les insectes et les invertébrés se défendent contre les infections virales en utilisant un système basé sur l'ARN, appelé interférence ARN ou ARNi.
Estimation de la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les donneurs de sang canadiens, d’avril 2020 à mars 2021 : amélioration de la précision grâce à des dosages multiples
Les données de séroprévalence peuvent fournir des renseignements essentiels sur l'incidence de l'infection et l'exposition aux agents pathogènes pendant les épidémies.
La capacité de neutralisation des particules apparentées au virus du SRAS-CoV-2 chez les donneurs de sang dépend du profil sérologique et des antécédents de vaccination contre le SARS-CoV-2 déclarés par le donneur
Des anticorps neutralisants sont produits comme réponse immunitaire à la vaccination ou à l'infection. Le terme « neutralisant » fait référence à la capacité de certains anticorps à empêcher un agent pathogène d'infecter ou de pénétrer dans les cellules de l'hôte.
Neutralisation contre le variant Omicron chez les greffés après trois doses de vaccin à ARNm
En 2022, Omicron a remplacé les souches virales sauvage et Delta comme souche dominante du SRAS-CoV-2. Lors de l'émergence et de l'implantation du variant Omicron, trois doses de vaccin étaient recommandées comme série primaire de vaccination pour les receveurs d’une transplantation d’organe plein.
Impact de l’infection par Omicron BA.1 sur l’immunité contre BA.4/5 chez les receveurs de greffe
Des anticorps neutralisants sont produits en réponse à la vaccination et à l'infection et leur fonction est de bloquer l'entrée d'un agent pathogène dans les cellules de l'hôte.
Réponses immunitaires homotypiques et hétérotypiques au variant Omicron chez des patients immunodéprimés dans divers contextes cliniques
Les patients immunodéprimés sont prédisposés aux symptômes graves de la COVID-19. Les receveurs de greffes d'organes sont généralement traités avec des immunosuppresseurs à vie qui peuvent altérer leurs réponses immunitaires aux agents pathogènes infectieux.